Articles de depalle-maeva
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Centres d'intérêts :
lecture; écriture; sport collectif; histoire...

Articles de depalle-maeva

Dans Historique

Les Muses

Par Le 2023-06-03

Les muses sont gardiennes et inspiratrices de l'activité littéraire et des art. Elles font don aux humains de l'inspiration créatrice et de la connaissance générale. Filles de Mnémosyme (Mémoire) et de Zeus, compagne d'Apollon, elles résident sur le mont Hélicon ou sur le mont Parnasse ou encore sur l'Olympe. Elles sont traditionnellement 9.

Égypte

Par Le 2023-06-03

 Je prend toujours des notes pour mes histoires lors de mes recherches pour éviter d'y oublier et de mieux comprendre. Pour l'une d'elle, j'e suis partis à l'exploration d'un pays, l'Égypte. Je n'est pas pris beaucoup de note, mais ça peux toujours servir et j'avais en plus un livre sur la mysthologie et un classeur. Donc, voici quelque infos que j'ai récolté, si vous en avez besoin, n'hésiter pas. 

Mont Olympe

Par Le 2023-06-03

Grece olympe mytikas     Il s'étend sur 500km2 avec 52 pics, et un point culminant à 2 918m qui est atteint par le Mont Mytikeas. Suivis par le Mont Stephanie qui est à 2 909m, on les appelle le "trone de Zeus". On voit  rarement le sommet qui est abrité par des nuages. 

     Vu d'en bas, lOlympe se présente comme une montagne isolée et massive. S'élevant abruptement et entaille de profond ravins. Il se dresse face à la mer Égée avec une distance de 18km. Il faut 2 jours pour rejoindre le sommet du Mont Mystikas. La dernière partie est dangeureuse, un changement abrupte. Il a une station pas loi, la station Litochoro.

Parc Gianicolo

Par Le 2023-06-03

mont janicule     Allées ombagées du jardin botanique, il offre une fraicheur sans équivalent dans le centre de Rome. Peu connu, sauf des habitants du quartier, c'est un lieu calme et délicieusment romantique. Il se trouve sur Mont Janicule. Faut entrée par la via Garibaldi, et sur la plus haute colline, un balcon qui repente le lieu avec un splendide panorama sur la ville. 

     Monument et bustes garibaldiens commémorent la bataille férose qui opposa en 1849, Giuseppe Garibaldi et les défenseurs de la république romaine à l'armée française venue en aide au pape.

Site archéologique Troie

Par Le 2023-06-03

Troie couches archeo     Il se trouve à l'entrée du détroit de Dardanelle sur la colline Hissarlik. Il a eu 9 niveau de la cité au fils du temps, reconstruit plusieurs fois. 

     Le niveau 7 est celui qui correspond le plus à la cité de Troie d'Homère. Le mur sur la colline est ce lui de l'acropole, ce qui signifie qu'elle est beaucou plus grande. Il date de l'âge de Bronze, le XIIIe siècle avant J.C.. La ville basse est fait d'un mur cyclopéen, comme la civilisation mycénienne et pré-romaines. C'était la plus grande ville qu'il eu à la l'âge de Bronze. Le mur basse était à 7 km de la plage à cette époque. Les felueves de Troie sont le Simois et le Scamandre.

     La langue de Troie était la louvite. Une langue anatolienne apparentée au hittie-nésite et au palaïte; Utilisé au sud de l'Anatalie au IIe millénaire avant J.C., cunéiforme et hiéroglyphes Hitties. Par contre, il avait aucun lien avec les hiéroglyphes égyptiens et crétois. 

Dans Flore

Champignons des arbres

Par Le 2023-02-23

-Une espèce voisine, le Paxillus involutus ou paxille à bords enroulés, est toxique. Il provoque un syndrome immuno-allergique. Rares cas-mortels.

-On confond ce pleurote avec la chanterelle dans le Nord, car les deux ont un chapeau en cornet d'un joli jaune orangé. Dans le Nord, le pleurote est suffisamment rare pour ne pas être reconnue avec certitude.

-Roi des métamorphoses, le Polypore versicolore, ce champignon adore changer de forme et trompe souvent son monde. D'un endroit à l'autre, il s'étalera de façon distincte.

-Certains polypores choisissent de s'installer sur des arbres affaiblis dont ils hâtent la fin. Ces champignons parasites sont un peu les "vampires" des forêts. Pour opérer, il font pénétrer leur mycélium dans le tronc de l'arbre et entraînent sa mort en provoquant deux fléaux à même sa sève : la pourriture blanche ou la pourriture rouge. Chaque année, le polypore grossit tandis que l'arbre se vide de sa substance. La tramète bossue, elle, préfère envahir les bois morts des hêtraies.

 

Dans Flore

Champignons des forêts mixtes

Par Le 2023-02-23

-Autrefois, les Indiens d'Amérique vénéraient le champignon Amanite phalloïde, et lui attribuaient des pouvoirs fertilisants.

-Selon une légende, en casser un morceau de champignon Amanite rougissante ferait pleuvoir.

-La muscarine  (un composant toxique) se trouve dans plusieurs espèces de champignons.

-Attention à ne pas confondre le bolet à pied rouge avec son cousin le boletus luridus, qui est toxique quand on le consomme avec de l'alcool.

-Les clitocybes blanc ressemblent au meunier et sont très toxiques. Ils contiennent de la muscarine, un poison du système nerveux provoquant des troubles de la vision et de la digestion.

 

Dans Flore

Champignons étranges et exotiques

Par Le 2023-02-21

Vesse de loup perlée : Comestible sous sa carapace "oursin", elle sert à arrêter les hémorragie si l'on en croit certains rebouteux de nos campagnes.

Bolet géant : Le Phlebopus colossus fais partie des plus grands champignons charnus au monde. En Europe, Langermania gigantea ou vesse de loup géante, ainsi que le polypore soufré (Laetiporus sulfureus) atteignent parfois une taille supérieure. En Afrique, le bolet géant de Madagascar est dépassé par le Termitomyces titanicus. Le record absolu, mentionné dans le Guinness Book of Records, est un Rigidioporus ulmarius, à Londres, champignon coriace à pores et toujours vivant, pesant environ 300kg.

Dans Flore

Connaissance des champignons

Par Le 2023-02-20

      On a commencé réellement à étudier scientifiquement les champignons au XVIe siècle. Et on doit à Linné, naturalistesuédoise du XVIIIe siècle, d'avoir classé les milliers de champignons par espèces. C'est en France qu'a été la première à fonder une société consacrée à l'étude des champignons. Il s'agit de la fameuse Société Mycologique de France, fondée en 1884, à une époque de bouillonnement scientifique. Depuis, des centaines de mycologues, botanistes et savants ont publié, sous forme de taités, de bulletins ou de compte rendus, la somme de leurs incroyables travaux, richesse absolument phénoménale aidant à mieux comprendre le monde mycologique.

      Les champignons ont toujours été source de mystère pour l'homme. Difficile, en effet, de comprebdre leur système de reproduction et de s'y retrouver parmi leurs innombrables espèces, si souvent variables. Alors que la botanique était depuis longtemps sur ses rails, la mycologie balbutiait et entraînait le bien des jugement ou affirmation erronés. Par exemple, les Anciens croyaient dur comme fer qu'un champignon naissait d'un rayon de soleil ou d'une goutte de rosée. Poétique, certes, mais peu scientifique... Faute de base scientifique, les Latins mettaient dans le même sac, sous l'appellation Boletus, psalliotes, vesses de loup, oronges. En 1729, l'Italien Micheli comprend le rôle joué par les spores dans la reproduction des champignons. La botanique, elle, a identifié et expliqué depuis lontemps les cycles de reproduction de la majorité des plantes et des fleurs. Ce qui fait défaut au mycologue, c'est un bon microscope. Son apparition va lui permettre de mieux classer les espèces en les étudiant en détail. Spores, tubes, lames, pasides prennent soudain un relief inattendu. Le français Quélet suit les traces du suédois Elias Fries et, toujours grâce au microscope, identifie 400 nouvelles espèces de champignons. Ses travaux font aujourd'hui encore, autorité. Les frères Tulasne, Bresadola, Boudier, Heim, et plus près de nous Kühner et Romagnesi, tous ont contribué à la connaissance des champignons. Grâce à leurs efforts, la mycologie cesse enfin d'être parente pauvre de la glorieuse botanique et gagne ses lettres de noblesse.

Dans Flore

Champignons des conifères

Par Le 2023-02-20

-Bolets et cèpes désignent la même espèce de champignon. Ce sont les habitants du Sud-Ouest qui ont donné à ce champignon le nom imagé de cep. tronc en gascon.

Dans Flore

Champignons de prairie

Par Le 2023-02-20

Champignons des prairie : classé par ordre alphabétique/

Dans Flore

Champignon des feuillus

Par Le 2023-02-20

-Coulemelle = Rares sont les espèces portant autant de noms d'usage : Nez de chat, Couleuvrée, Chevalier bagué, Parasol, Saint-Michel, et bien sûr coulemelle.

-Les lactaires ont vraiment du lait comme les vaches. Et ce latex, ou lait, coule de leur chair à la casssure. Ce lait est plus souvent blanc mais s'altère à l'air libre et peut changer de couleur. Si leur lait est très irritant, peu de cueilleurs se risquent à y goûter ! Ce que l'on sait, c'est que la majorité des laits des lactaires contiennent uen résine irritante pour le système difestif, et d'autres composants encore mal connus mais probablement peu toxique.

-Certaines personnes ont frôlé l'occlusion intestinale en mangeant des trompettes de la mort. A condition d'en absorber plusieurs kilos, car les fibres de ce champignon ne sont pas assimilées par les sucs digestifs de notre organisme. Sinon, l'espèce est totalement dépourvue de toxicité.

Les chakras

Par Le 2022-01-13

  -Définition-

     Les chakras ( चक्र, écriture devanagari en Sanskrit = roue ou disque ; prononciation phonétique : « tchakra » en sanskrit, « chakra » en français, en IAST : cakra ; pali : chakka ; tibétain : khorlo ; indonésien et javanais : cakra) est le nom sanskrit traditionnellement donné à des objets ayant la forme d'un disque, parmi lesquels le soleil. Le terme est aujourd'hui plus connu pour désigner des « centres spirituels » ou « points de jonction de canaux d'énergie (nāḍī) » issus d'une conception du Kundalinî yoga et qui pourraient être localisés dans le corps humain. Selon cette conception, il y aurait sept chakras principaux et des milliers de chakras secondaires. On trouve ce concept dans la Yoga Chudamani Upanishad (composée entre le VIIème siècle et Xème siècle) et la Yoga Shikha Upanishad. Ce sont des centres énergétiques répartis le long du corps. Il existe 7 chakras majeurs. Ce sont des points d'intersections dans lesquels circulent le "Chi" ou "énergie vitale". Les 7 chakras pincipaux sont décrits comme formants une colonne lumineuse partant de la base  de la colonne vertébrale jusqu'à la tête. Chaque chakras est associé à l'énergie d'une couleur, à de multiples fonctions spécifiques, à un aspect de la conscience... 

 

 -Histoire- 

     La plus ancienne mention connue des chakras se trouve dans les dernières upaniṣad (plus spécifiquement, la Brahma Upaniṣad et la Yogatattva Upaniṣad). Les chakras sont issus d'un système de croyances philosophiques issues de l'hindouisme. Les premiers textes qui en parlent sont écrits en sanscrit. Pour les personnes adhérant à ces croyances, ils ont une réalité physique et physiologique au même titre que d'autres organes, même si cette physique est, dans leur conception, beaucoup plus subtile. En occultisme, il est affirmé que la clairvoyance permettrait de les voir comme des centres de lumière et d'énergie.

     Dans l'Inde ancienne, le mot désignait un disque de métal — or, cuivre ou fer — symbolisant le pouvoir d'un râjadit chakravarti : celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes, qui tient leur vie dans ses mains, mais aussi, peut-être, celui qui est à l'image de sūrya, le soleil. Le titre de chakravarti ou chakravartin était donné à un souverain ayant fait le sacrifice du cheval ou ayant réalisé de grandes conquêtes. Le disque est l'attribut principal du dieu Vishnou. Dans l'hindouisme, la roue représente la structure des mondes et de l'individu, « dont le noyau est le cœur, les rayons ses facultés et les points de contact avec la jante les organes de perception et d'action ». Le terme fut ensuite utilisé pour qualifier Bouddha et les souverains bouddhistes, qui font tourner la roue de la loi (geste de dharma chakra-mudrâ).

     On retrouve ainsi très logiquement une représentation de chakra dans l'emblème et le drapeau de l'Inde. À l'origine, devait se trouver dans la bande blanche le rouet de Gandhi, c'est-à-dire l'outil emblématique de l’autosuffisance. Il fut plus tard remplacé par le chakra d'Ashoka, un symbole bouddhiste, sous l'influence de Bhimrao Ramji Ambedkar, le rédacteur hors-caste de la constitution indienne qui finit par se convertir au bouddhisme.

 

Langage des pierres

Par Le 2021-11-07

Comment purifier et régénérer vos pierres ?

     Vos pierres nécessitent une purrification après les avoir utilisées. La purification dépend de la pierre (brute ou polies), la chimie de celle-ci, du montage (bijoux argent, bijoux bélières, pierre percées...). Les pierres sont purifiées afin d'extraire les énergies négatives qu'ells auraient absorbées pendant leur usages. Il est également nécéssaire de les revitaliser ou re-énergiser afin qu'elles puissent à nouveau vous fournir leur bienfaits.

Les techniques de décharge / recharge :

     Dans les cas de bijoux contenant de l'argent ou bélière ou pampilles en métal ➡️ Poser sur des cristaux ou faire couler un filet d'eau quelques secondes sur le bijou. Dans le cas de galet ou de pierres brutes ou encore de bijoux perces en simple ou en bracelt sans pampilles ➡️ il faut se référer à la légende suivante ⬇️

E ➖Eau uniquement

ES ➖Eau + Sel

CR ➖Cristaux uniquemen t (améthyste ou quartz)

SO ➖Soleil

L ➖Lune

LV ➖Exposition au Levant et/ou Couchant

C ➖Coquille Saint Jacques

HE ➖Huiles Essentielles a appliquées avec un chiffon humide (Lavande...).

Turquie

Par Le 2021-07-08

      Je prend toujours des notes pour mes histoires lors de mes recherches pour éviter d'y oublier et de mieux comprendre. Pour l'une d'elle, j'e suis partis à l'exploration d'un pays, la Turquie. Je n'est pas notée beaucoup, mais ça peux toujours servir et j'avais en plus un livre du Routard sur le pays. Donc, voici quelque infos que j'ai récolté, si vous en avez besoin, n'hésiter pas. 

Dans Flore

Glossaire Botanique

Par Le 2021-05-27

A

Acumen : pointe fine qui termine un organe, comme la feuille du noisetier.

Akène : fruit sec dont la graine unique n'est pas soudée à son enveloppe (péricarpe) qui ne s'ouvre pas d'elle-même. Exemple ➡️ la noisette

Alcaloïdes : ensemble de molécules végétales azotées aux propriétés toxiques.

Anthère : partie terminale de l'étamine renfermant le pollen. 

Auriculé : muni à la base de deux éléments en forme de petites "oreilles".

 

B

Baie : fruit charnu ayant plusieurs graines (ou pépins)  dans la pulpe. Exemple ➡️ le raisin

Bilabié : calice ou corolle divisée en deux lèvres. Exemple ➡️ la sauge

Bractée : organe à la base du pédoncule d'une fleur, souvent en forme de feuille.

Bulbe : pousse souterraine charnue, écailleuse. Exemple ➡️ l'oignon

Bulbilles : petits bulbes naissant à la base des fleurs ou des feuilles. Exemple ➡️ l'ail

Bilbillifère : qui porte des petits bulbes ou bulbilles.

 

C

Caduc : qui tombe spontanément, se détache à un moment donné de la plante. Contraire ➡️ persistant

Capitule : inflorescence composée de fleur sessiles, identiques ou non, reposant sur un réceptacle, le tout ayant l'apparence d'une seule fleur. Exemple ➡️ la pâquerette

Corymbe : inflorescence où les fleurs se retrouvent sur le même plan alors que leurs pédicelles partent à des hauteurs différentes. Exemple ➡️ l'achillée millefeuille

Cyme : inflorescence où chaque ramification se termine par une fleur.

 

D

Dioïque : plante dont les individus mâle et femelle sont séparés. Fleurs mâle sur une plante, fleurs femelles sur une autre.

Drupe : fruit charnu dont la pulpe ne contient qu'un seul noyau à une graine. Exemple ➡️ la cerise.

 

E

Embrassant : feuille dont la base entoure la tige.

Étamines : organes mâles de la fleur composés d'un filet et de l'anthère, contenant du pollen.

 

F

Foliole : "petite feuille" , partie du limbe d'une feuille composée.

Fronde : "feuille" de la fougère.

 

H

Hampe : tige nue portant une fleur.

Hermaphrodite : fleur ayant à la fois des organes reproducteurs mâles et femelles.

 

I

Indusie : membrane qui protège les sporanges chez la fougère.

 

L

Lancéolé : en forme de fer de lance.

Latex : suc laiteux qui coule d'une plante quond on la brise.

Ligneux : qui à la consistance du bois. 

Limbe : partie étalée et aplatie d'une feuille.

 

N

Nectarifère : qui poste les organe glanduleux produisant un liquide sucré, le nectar.

 

O

Oblong : plus long que large et arrondi aux extrémités.

Ombelle : inflorescence dont les rameaux partent d'un même point et dont les fleurs se retrouvent sur une même surface plane ou sphérique. Exemple ➡️ la berce

Opposés : organes situés en vis-à-vis l'un à l'autre.

 

P

Palmatifide : feuille palmée dont les divisions atteignent le milieu du limbe.

Palmatilobée : feuille palmée dont les divisions atteignent pas le milieu du limbe.

Panicule : inflorescence composée dont la taille des axes secondaires diminuent de la base au sommet. Exemple ➡️ l'avoine

Pédoncule : le support, la "tige" qui porte l'ensemble des fleurs ou inflorescence.

Pennatiséquée : se dit d'une feuille segmentée en folioles oennées (comme une plume) dont la découpe atteint le nervure médiane.

Penne : foliole de la feuille fougère.

Péricarpe : enveloppe du fruit, de la graine.

Persistant : qui conserve sont feuillage en hiver. Contraire ➡️ caduc

Pétiole : le support, la "tige" qui porte la feuille.

Pinnules : divisions des folioles de la feuille fougère.

Pistil : organe femelle de la fleur composé de l'ovaire, du style et du stigmate.

 

R

Rachis : axe principal d'une feuille composée pennée, d'un épi de graminée, d'une fronde de fougère.

Rameux :  divisé en plusirus tiges secondaires.

Rhizome : tige souteraine émettant des tiges aériennes.

Rosette : ensemble de feuilles étalées formant un cercle à la base d'une tige.

 

S

Sépales : paties de l'enveloppe extérieure d'une fleur ou calice ; à ne pas confondre avec les pétales, parties de l'enveloppe intérieure ou corolle.

Sessile : dépourvu de pédoncule ou de pétiole.

Sore : chez la fougère, groupe de spranges. 

Spathe : grande bractée entourant  une inflorescence.

Sporanges : chez la fougère, capsules renfermant les spores, organes de reproduction.

Succulent : organe charnu, épais, gonflé d'eau.

 

T

Tomenteux : couvert de poils aplatis, d'une espèce de feutre.

Tubercule : organe de réseve, renflement de la racine ou de la tige.

 

V

Verticilles : organes rangés en cercle autour d'un axe.

Vrille : feuille spécialisée et transformée en un filament pouvant s'accrocher à un support en s'y enroulant.

Dans Historique

Instrument égyptien

Par Le 2019-09-13

Introduction

      La musique, pour les égyptiens de l'antiquité était d'une importance majeure, utilisée uniquement pour des occasions spéciales, telles que les fêtes en l’honneur du pharaon, lors des célébrations des différentes divinités, ou pour les funérailles du pharaon et de la famille royale. Certains instruments peuvent être directement liés à un dieu, en particulier la déesse Hathor. Voici quelques instruments de la terre des pharaons.

 

Le Sistre 

      Il s'agit d'un instrument typiquement égyptien appartenant au domaine sacré dont les origines remontent à la Préhistoire. Il a deux types de sistres : 

    ♣Le sakhm, qui est composé d'un cadre en bois ainsi que d’un manche à l’intérieur duquel se trouvent des anneaux métalliques. Ces derniers s’entrechoquent lorsque l'on secoue l’instrument.

    ♣Le saïschschit est plus ancien. Il est composé d’un manche prolongé d'une tête hathorique dont les cornes sont remplacées par deux longs appendices entre lesquels des fils métalliques sont tendus. Sur d’autres modèles, il s'agit de tringles qui traversent des petites cymbales. Certaines sont pourvues d’une extrémité recourbée qui provoque un son en heurtant le cadre. Cet instrument était utilisé par les femmes au sein des temples dans un cadre religieux.

 

La Harpe 

      Elle apparaît pour la première fois dans l'iconographie aux alentours de 2550 av. J.C. Durant l’Ancien et le Moyen Empire, les harpistes en jouaient en position assise avec six ou sept cordes. A partir du Nouvel Empire, on voit les modèles se diversifier, comme des harpes de hauteurs moyennes munies d’un pied ou d’autres plus petites dont les musiciens se servaient en les appuyant sur leur épaule. Certaines obligeaient le musicien à être debout tant elles sont volumineuses, munies d'au moins une vingtaine de cordes, décorées d’ornements floraux ou géométriques, enrichies d’une tête en bois doré qui s’emmanche à l’extrémité supérieure.

 

La Lyre 

      Introduite au début du IIème millénaire, en plein Moyen Empire, elle ne fut ajoutée aux orchestres que durant le Nouvel Empire, c’est-à-dire à l’époque où l’Égypte entre en rapport avec l’Asie. Selon l'iconographie de l'époque, l'origine de ces dernières peut être retracée jusque sur le continent asiatique. Il est possible de trouver différentes tailles, des petits instruments élégants à cinq cordes, faciles à manipuler sous le bras, aux grandes lyres à dix-huit cordes qui s’utilisent debout. Les cordes étaient fixées à la barre supérieure grâce à des lanières en cuir qui assuraient l’écartement régulier, puis réunies et tendues à la base de la caisse en bois, attachées à un anneau de bronze.

 

La Guitare

      La plus vieille guitare au monde est égyptienne, âgée de pas moins de 3 500 ans. Har-Mose, chanteuse égyptienne sous le règne de la reine Hatchepsout, était par exemple une experte utilisatrice de cet instrument. Elle ne possédait au départ que trois cordes et un plectre suspendu au col par un cordon. La caisse de résonance était faite à partir de bois de cèdre poli et un morceau de cuir était placé sur la table d’harmonie de l’instrument.

 

La Flûte

      La flûte était l'instrument le plus répandu d'Egypte, dont il semble s'agir du pays d'origine. Les premières évidences de l'existence de cet instrument en Egypte remontent au IVe millénaire av. J.C. Sa taille peut varier de vingt-cinq centimètres à un mètre. Dans le premier cas, le musicien la tient horizontalement devant lui, tandis que dans le deuxième, elle est tenue de manière oblique vers l’arrière afin de diriger un filet d’air sur le bord d’une des extrémités. On en trouve quelques-unes en bois, elles sont plus souvent réalisées en roseaux, et parfois, elles possèdent une embouchure en papyrus.

      La flûte que l'on pourrait catégoriser de "simple" n'était cependant pas le seul modèle existant, puisqu'il existait aussi la flûte double, constituée de deux roseaux parallèles ajustés l’un contre l’autre. Durant le Nouvel Empire, elle prend une nouvelle forme, faite de deux roseaux constituant un angle aigu. C’est l’ancêtre de la zummura (ou zamr) actuelle.

 

Les Claquoirs 

      Comme le nom l'indique, il est question de deux planchettes identiques tenues dans chaque main, et résonnant une fois frappées rapidement l'une contre l'autre. Ce type d'instruments remontent à la préhistoire, comme le démontre l'existence de planchettes entrechoquées (ou castagnettes), typiques de cette époque. D’abord fabriquées en bois, en ivoire puis en métal, les plus simples et anciennes ont la forme d’un angle. D’autre, plus récentes, sont droites ou recourbées comme un boomerang. Dès l’Ancien Empire, elle se présentent sous la forme de mains ou d’avant-bras, rappelant ainsi qu’il s’agissait d’une transposition musicale du geste de frapper des mains.

Dans Historique

Alexandrie

Par Le 2019-09-13

Introduction

      En Basse-Egypte en 331 avant J.C, à l’emplacement d’un petit bout de terre sableuse, sur des dunes instables entre la mer et la lagune, se trouvait la prestigieuse ville d’Alexandre le Grand, à laquelle il donna son nom. Au départ ce lieu était un village de pêcheur du nom de Rhakotis qui faisait face à une petite île appelée Pharos. Elle était sur la côte méditerranéenne, elle faisait 7 km de long sur 1,5 km de large, entre le Lac Maréotis et la Méditerranée et est située à l'ouest du delta du Nil.

 

La légende sur la fondation d’Alexandrie 

      Homère est apparu une nuit dans un songe d’Alexandre pour lui révéler l’emplacement de la cité. Plutarque raconte dans sa Vie d’Alexandre« Une île il y a dedans la mer profonde / Tout vis-à-vis de l’Égypte féconde / Qui par son nom Pharos est appelée. »

      L’immense chantier est confié et réalisé par l’architecte Dinocratès, la complexité du site ne rend pas les travaux faciles. Il imagine deux grandes luxueuses avenues ponctuées de monuments et coupées par des angles droits donnant sur des plus petites artères. La première construction monumentale est l’Heptastadion, une digue longue de sept stades -ce qui fait plus de 1 500 m- qui relie l’île de Pharos à la terre ferme et aide à la réalisation des deux ports de ville : l’Eunostos (qui se traduit par = Bon Retour) à l’ouest et le Grand-Port à l’est. Le phare sera initié par Ptolémée Ierqui mourra avant la fin, c’est son fils Ptolémée qui achèvera la construction qui durera quinze ans. Il se trouvait à la pointe de l’île de Pharos à la place de l’actuel Fort Qaitbay qui date de la fin du XVèmesiècle et qui est d’ailleurs construit avec des parties des blocs antiques qui appartenaient au phare.

      A la mort soudaine d’Alexandre en 323 avant J.C, ses généraux se partagent son immense empire, et l’Égypte revient à Ptolémée qui fondera la dynastie lagide -plus connue sous le nom de la dynastie ptolémaïque-, qui fut la dernière à régner sur le pays avec la mort tragique de Cléopâtre VII. D’après l’historien grec Diodore de Sicile, Ptolémée aurait récupéré la dépouille d’Alexandre pour l’enterrer dans un magnifique mausolée qu’il aurait fait construire spécialement au cœur de la ville. 

Au fil du temps, la ville devient un lieu incontournable, une cité prestigieuse, un foyer culturel sans équivalent dans l’histoire. Son surnom, elle le tient du fondateur « la Perle de la Méditerranée ».  A l’arrivé de Napoléon, elle retrouve son âge d’or et redevient l’un des pôles commerciaux le plus importants du monde.

 

La fameuse Bibliothèque

      Elle a connu de nombreux incendies, mais il a été prouvé que celui causé par Jules César est faux, l’erreur vient de la confusion des récits historiques sur les événements qui arrivent en 48 avant J.C. Par contre, la destruction du quartier du Palais-Royal et donc de la bibliothèque du Musée, arrivent vraisemblablement pendant la guerre entre l’empereur Aurélien -270-275 après Jésus Christ- et la reine Zénobie de Palmyre, puis peut-être sous l’empereur Dioclétien qui mit la ville à sac. Mais ça n'arrêtera pas la bibliothèque qui continua de fonctionner quelques temps. Et en 391, elle fut détruite lors d’une insurrection menée par l’évêque Théophile, à cause de l’Edit de Théodose qui ordonne la destruction des temples païens. L'Alexandrie chrétienne, ne dura pas moins de six siècles et lors de la prise de la cité par les Arabes, la bibliothèque universelle n’était plus qu’une légende et une ombre de son époque glorieuse. On sait que le sultan Omar donna l’ordre qu’on utilise les documents pour combustibles pour les étuves, et cela prit six mois pour brûler tout le matériel. Seulement les livres d’Aristote furent épargnés et transcrits par les arabes, qu’une partie nous est parvenue.

 

De nos jours

      Bien des sites archéologiques furent mener à Alexandrie. Avec la révolution de 1952, tous les étrangers partirent et ne revinrent jamais. La ville a cinq millions d’habitants, principalement des égyptiens. C’est le principal port d’Égypte et aussi de villégiature estivale.

      En mai 1995, des fouilles sous-marines furent menées à Alexandrie. Sous la direction de Jean-Yves Empereur, des fouilles sous-marines sont entreprises afin de préserver les ruines du célèbre phare d’Alexandrie. Menacées par la construction d’un brise lame en béton, ces dernières ont été extraites des eaux grâce à une campagne sous-marine de grande ampleur. Directeur de recherche aux CNRS, Jean-Yves Empereur avait fondé, quelques années plus tôt, le Centre d’Études Alexandrine, afin de protéger les sites archéologiques antiques de la ville. Les recherches se poursuivront dans les années suivantes, autant autour du phare d’Alexandrie qu’ailleurs dans la cité. C’est ainsi qu’en 1997, une nécropole sera mise à jour.

      Encore aujourd’hui, des archéologues continuent de faire des fouilles à Alexandrie pour retrouver le mausolée d’Alexandre.  Alexandrie fut une ville cosmopolite, qui maintenant ne souhaite qu’à le redevenir.

 

Dans Flore

Le guide des plantes, partie 3

Par Le 2018-01-06

3ème partie 

  • Le nom de la plantes
  • Le nom scientifique
  • Qu'elle partit on utilise 
  • Ce qu'elle apporte niveau santé
  • Ses origines
  • Ses particularités
  • Ses bienfaits
  • Un petit plus 
Dans Flore

Le guide des plantes, partie 2

Par Le 2018-01-06

Partie 2

  • Le nom de la plantes
  • Le nom scientifique
  • Qu'elle partit on utilise 
  • Ce qu'elle apporte niveau santé
  • Ses origines
  • Ses particularités
  • Ses bienfaits
  • Un petit plus